Fabien di Filippo

Revue GEEA : La sécurité et l'économie

Revue GEEA : Entre ambition et sobriété : faut-il choisir?

Revue GEEA : Industrialisation - Relocalisation : Impossible n'est pas français

NOTRE REVUE GEEA : ENTRE POSSIBLE ET IMPOSSIBLE, DEUX LETTRES ET UN ETAT D'ESPRIT

Petit-déjeuner autour de Jacques-Antoine GRANJON, PDG et Fondateur de VEEPEE

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Yves Bouloux, Martine Berthet, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Fabien Di Filippo, Yannick Haury, Michel Herbillon, Sébastien Huyghe, Brigitte Kuster, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Philippe Michel-Kleisbauer, Patricia Morhet-Richaud, Antoine Savignat, Laurence Trastour-Isnart, Guy Teissier, Isabelle Valentin, Michel Vialay

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Yves Bouloux,
Martine Berthet, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Eric Diard, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Fabien Di Filippo, Yannick Haury, Michel Herbillon, Sébastien Huyghe, Brigitte Kuster, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Philippe Michel-Kleisbauer, Patricia Morhet-Richaud, Antoine Savignat, Laurence Trastour-Isnart, Guy Teissier, Isabelle Valentin, Michel Vialay

Loin de la morosité, GEEA s’est réunie pour évoquer l’hyper-croissance, la réussite à la française, son développement européen.

Depuis 2001, Jacques-Antoine Granjon a su imposer son propre style et devenir le numéro 1. Sur son site d’e-commerce, il solde jusqu’à 75 % des chaussures Redskins, des chemises Eden Park, des oreillers Dunlopillo, des voyages au ski ou à New York. Et les chercheurs de bonnes affaires sont des milliers à s’y rendre tous les jours pour fouiller les nouveautés.

Veepee est-elle une pépite reproductible ou un ovni tangible grâce à l’originalité de son créateur ? Jacques-Antoine était l’invité de ce petit-déjeuner. Il est revenu sur ses réussites comme ses échecs dont le plus important, l’aventure américaine.

« Nous avons débuté dans un petit local, rue Pierre Chausson, dans le quartier du Sentier. Ce commerce s’est vite transformé grâce à la révolution digitale, qui s’est accélérée surtout, depuis 2004, avec l’ar- rivée de l’ADSL.». Aucun actionnaire n’est entré en m’apportant de l’argent et je n’ai jamais eu besoin d’un euro puisque j’avais un BFR (Besoin en Fonds de Roulement) négatif. » raconte-t-il.

Cette année, Venteprivee.com s’est trans- formée en Veepee car, pour la première fois, en 2018, 50 % du chiffre d’affaires a été apporté en dehors de France.

Le secret de cet entrepreneur, c’est l’agilité de son entreprise, la recherche constante des souhaits de sa clientèle, principalement féminine. « La clé est de regarder en permanence ce qui se passe et de pouvoir s’adapter quasiment immédiatement. » assure-t-il. Il souligne aussi l’importance de rester centrer sur l’ancrage local, tout en évoquant son envie d’Europe.

« Nous avons la chance de vivre sur le continent le plus passionnant au monde et malheureusement, nous ne le construisons pas tel que nous devrions le faire. Les par- lementaires doivent nous aider, non pas avec de l’argent, mais avec de nouvelles lois sociales, avec une harmonisation fiscale où il existe toujours encore des flottements entre les Etats, où il est toujours plus agréable de vivre dans un pays plus que dans un autre sur ce sujet précis. Il doit donc y avoir une harmonisation des règles et que le marché unique devienne ainsi le marché du développement des entreprises européennes. ».

Et ne le comparez pas à Amazon, sa réplique est implacable : « Amazon répond à un besoin alors que Veepee répond à un désir. »

Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi

Petit-déjeuner autour de Nicolas ROUSSELET, PDG du groupe Rousselet

En présence de Frédéric Reiss, Éric Ciotti, Hugues Renson, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Valérie Bazin-Malgras, Stéphane Piednoir, Éric Straumann, Jacques Cattin et Fabien Di Filippo

En présence de Frédéric Reiss, Éric Ciotti, Hugues Renson, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Valérie Bazin-Malgras, Stéphane Piednoir, Éric Straumann, Jacques Cattin et Fabien Di Filippo

La chanson qu’interprétait Joe Dassin dans les années 70 n’a jamais été autant d’actua- lité : « Dans Paris à vélo on dépasse les autos, à vélo dans Paris on dépasse les taxis... » Et nous, simple client sur la banquette arrière du G7, on crie : « Vas-y Joe, Vas-y ! »

La mobilité a-t-elle un sens ? Pour fluidi- fier, on imagine désormais les transports sur la Seine. Quel trafic !

Certes, Paris n’est pas la France, mais ce phénomène s’étend désormais aux autres grandes villes et même à notre ruralité.

Dans cet imbroglio circulatoire, il y a des conducteurs impatients, arrogants et rebelles, pas mal de râleurs, très peu d’exemplaires... chacun se reconnaîtra et... il y a les pros du volant qui se dis- putent la part du gâteau. G7 ou Uber ? Taxi ou Chauffeur Privé ? Entre l’artisan et le VTC, la guerre est déclarée, affûtée par l’examen du projet de loi sur les Mobilités alors examiné à l’Assemblée nationale.

Nicolas Rousselet, PDG du groupe Rousselet, composé de sociétés de logistiques, du loueur ADA de Homebox mais aussi bien sûr des taxis G7, le premier réseau national, était l’invité de cette matinée.

« En tant qu’acteur de la mobilité, nous avons la responsabilité de réfléchir à la ville dans laquelle nous voulons vivre demain. J’ai écrit deux essais à ce sujet, l’un, en 2015, sur la nécessaire humanisation de l'économie de partage, et, il y a quelques mois, un autre sur l’« urbanité », où j’essaye d’analyser comment les technologies actuelles nous permettent d’améliorer encore l’attractivité de nos villes, le bien-être, avec cette baisse des émissions de CO2, avec le partage de données, avec l’utilisation des « Big Data » pour améliorer la mobilité de l'ensemble de nos concitoyens... Nous sommes au cœur de la mobilité, le reflet de cette troisième révolution industrielle, de la mutation des villes, avec des foisonnements d'offres de tous les types de transport. » explique-t-il.

Il évoquera aussi les véhicules verts et connectés dont s’est équipé G7... mais quid des véhicules autonomes ?

« La loi LOM prévoit des expérimentations. Cela me semble très bien à partir du moment où, la technologie reste au ser- vice de l’humain. En zone rurale, les bus autonomes peuvent être un vrai moyen de donner plus de mobilité à nos concitoyens là où il n’y a pas forcément de taxis et pas forcément non plus de clients. » répond-il.

Déplacement en région Grand Est

Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Michel Herbillon, Damien Regnard et Pierre Vatin se sont rendus en Moselle et en Bas-Rhin, à l’invitation de Fabien Di Filippo et de Patrick Hetzel

En plein coeur du village de Fenetrange, les parlementaires ont visité l’immense pensionnat de la congrégation des sœurs de la Divine Providence.

Cette journée a continué par une visite de l’usine Jus de Fruits d’Alsace à Sarre- Union Rimsdorf. Le spécialiste du condi- tionnement de jus, nectars et boissons aux fruits compte 270 employés (plus une cinquantaine d’intérimaires). C’est l’une des entreprises phares d’Alsace Bossue.

La journée s’est terminée par une ren- contre avec le Cercle des entrepreneurs d’Alsace Bossue (CEAB) qui a présenté son programme « Invente ton avenir », une formation en alternance avec CDI garanti à la clef. La région souffre d’un manque de main d’œuvre, notamment des candidats aux postes de techniciens chaudronniers et de pilotes de ligne automatisée.

Faciliter la transmission d'entreprises, un enjeu vital pour nos territoire et notre économie

Fabien Di Filippo, Député de la Moselle, a été élu pour la première fois en 2017 à l’âge de 30 ans. Il a effectué l’intégralité de son parcours professionnel dans le secteur privé, au sein d’entreprises de conseil et de distribution, sur des fonctions d’encadrement managérial puis de direction.

Député d’une circonscription comprenant 261 communes, il est soucieux du thème de la transmission d’entreprises, qui constitue un enjeu essentiel pour la vitalité écono-mique de nos territoires, notamment ruraux.

Quels sont selon vous les princi- paux enjeux de la transmission d’entreprises ?

La transmission d’entreprise est un sujet vital pour l’économie française, en parti- culier dans nos territoires ruraux.

60 000 entreprises sont mises en vente chaque année en France, et la moitié d’entre elles disparaissent faute de repreneur. Les conséquences économiques et humaines de l’échec des reprises sont considérables : alors que la transmission d’entreprises contribue à fixer les centres de décision et les sites de production dans les territoires où les entre- prises sont implantées, la vente d’une PME ou d’une ETI à un groupe étranger ou à un fonds d’investissement conduit au contraire bien souvent à la délocalisation des investissements, des emplois et de l’ensemble de la chaine de prestataires et de sous-traitants.

Comment favoriser ces trans- missions dans notre pays ?


Nous devons nous attaquer à la trop grande complexité administrative et au coût trop élevé des transmissions.

En France, le coût du passage d’une entreprise à la génération suivante implique une fiscalité représentant de 11 à 15% de la valeur de l’entreprise. Le taux de transmission est donc faible, de l’ordre de 17%. En Allemagne, où la fiscalité est de 0% sur les entreprises non-cotées, il est de 56%, et près de 70% en Italie où la fiscalité est de 4% ! Nous devons aligner le coût de la transmission d’entreprises en France sur la moyenne européenne.

Il faut aussi changer de regard sur la reprise par rapport à la création d’entre- prises. Le taux de survie des entreprises récemment cédées est bien supérieur aux autres entreprises : 60% à 5 ans contre 50% pour les autres.

Des évolutions législatives sur ce sujet sont-elles à prévoir ?


En juin dernier, le Sénat a adopté la proposition de loi de deux Sénateurs LR visant à moderniser la transmission d'en- treprise, avec l’amélioration de l'accès à l'information pour les chefs d'entreprises, la favorisation des reprises internes, la simplification du cadre fiscal et économique de la transmission et la facilitation de son financement.

Pour ma part, dans le cadre du projet de loi relatif à la croissance et la transforma- tion des entreprises (PACTE), je défendrai des amendements élaborés en concer- tation avec des chefs d’entreprise et des salariés de ma circonscription. Plusieurs d’entre eux porteront sur le pacte Dutreil, mécanisme d'exonération des droits de succession pour les successions familiales. Aujourd’hui, trop peu de PME et d’ETI mettent en place ce pacte, jugé trop complexe et trop contraignant. Je porterai donc des propositions pour le libérer de son carcan juridique et administratif et donner plus de souplesse à ses conditions d’exercice et de transmission ; supprimer l’obligation déclarative annuelle pour les entreprises et les redevables, mettre en place un pacte Dutreil Plus qui per- mette un abattement de 100% sur les transmissions d’entreprises, redéfinir la société holding animatrice, seule société holding pouvant bénéficier du pacte, pour assurer une plus grande sécurité fiscale à ses dirigeants, permettre les cessions et échanges de titres entre membres du pacte Dutreil et entre signataires d'un engagement individuel, inciter les actionnaires dirigeants à mettre en place plus tôt la transmission aux jeunes générations, supprimer la condition d’exercice des fonctions de direction par un donataire ou légataire en phase d’engagement individuel, ouvrir le pacte aux salariés.

Je demanderai aussi que les ETI puissent bénéficier des mesures prises dans la loi PACTE en faveur des PME et des TPE, notamment de l’exemption de la taxe de 20% sur les accords d’intéressement. C’est en défendant de telles mesures que nous lutterons contre le phénomène d’érosion des transmissions d’entreprises familiales, et que nous assurerons la pérennité des établissements dans notre ruralité, mais aussi le dynamisme écono- mique dans tous les territoires.

Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !

Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie

Petit déjeuner autour de Maurice Levy, Président du Conseil de surveillance de Publicis

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, JEAN-CLAUDE BOUCHET, BERNARD BROCHAND, PIERRE CORDIER, TYPHAINE DEGOIS, VIRGINIE DUBY-MULLER, JEAN-JACQUES FERRARA, FABIEN DI FILIPPO, MEYER HABIB, CLAUDE DE GANAY, LAURENT GARCIA, SÉBASTIEN HUYGHE, BRIGITTE KUSTER, CHARLES DE LA VERPILLÈRE, CONSTANCE LE GRIP, JEAN-PAUL MATTEI, ERIC PAUGET, FRÉDÉRIC REISS, RAPHAEL SCHELLENBERGER, PIERRE VATIN, STÉPHANE VIRY

sur le thème :

"Entreprises et Médias font-ils bon ménage?"

Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, VALÉRIE BAZIN-MALGRAS, EMILIE BONNIVARD, JEAN-CLAUDE BOUCHET, JACQUES CATTIN, DINO CINIERI, PIERRE CORDIER, RÉMI DELATTE, FABIEN DI FILIPPO, CLAUDE DE GANAY, LAURENT GARCIA, PHILIPPE GOSSELIN, YANNICK HAURY, ALEXANDRE HOLROYD, BRIGITTE KUSTER, SÉBASTIEN LECLERC, EMMANUEL MAQUET, MAXIME MINOT, ERIC PAUGET, SOPHIE PRIMAS, ERIC STRAUMANN, PIERRE VATIN, MICHEL VIALAY, STÉPHANE VIRY

Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France

sur le Thème:

" La culture d’entreprise au service des objectifs "

Petit-déjeuner autour de Nikolaus Meyer-Landrut

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Valérie Beauvais, Jacques Cattin, Gérard Cherpion, Guillaume Chevrollier,  Pierre Cordier, Olivier Damaisin, Jean-Jacques Ferrara, Fabien di Filippo, Philippe Gosselin, Michel Herbillon, Jean-Luc Lagleize, Philippe Latombe, Sébastien Leclerc, Marc Le Fur, Constance Le Grip, Vivette Lopez, Véronique Louwagie, Sylvain Maillard, Eric Pauget, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Jean-Charles Taugourdeau, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Charles de la Verpillère, Arnaud Viala, Michel Vialay

Petit déjeuner GEEA autour de Nikolaus Meyer-Landrut, ambassadeur d'Allemagne en France

sur le Thème:

"L'apprentissage en Allemagne : un modèle à importer?"

Revue GEEA : Top départ pour la France !

Petit-déjeuner autour de Laura Flessel, ministre des Sports

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Thibault Bazin, Valérie Bazin-Malgras, Jacques Cattin, Jean-Claude Bouchet, Bernard Brochand, Gérard Cherpion, Dino Cinieri, Rémi Delatte, Claude de Ganay, Jean-Jacques Ferrara, Fabien di Filippo, Laurent Garcia, Annie Genevard, Valérie Lacroute, Sébastien Leclerc, Gilles Lurton, Jean-Paul Mattéi, Gérard Menuel, Christophe Naegelen, Olivier Paccaud, Jean-François Parigi, Eric Pauget, Guillaume Peltier, Bérengère Poletti, Frédéric Reiss, Maïna Sage, Laurence Trastour-Isnart, Charles de la Verpillère, Michel Vialay

 

autour de Laura Flessel

ministre des Sports

sur le thème :

" Jeux Olympiques 2024 : une chance pour la France ? "

Petit-déjeuner autour de Charles Znaty, Président de la maison Pierre Hermé

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Pascal Bois, Ian Boucard, Jean-Claude Bouchet, Paul Christophe, Claude de Ganay, Fabien di Filippo, Laurent Garcia, Annie Genevard,  Michel Herbillon, Christian Jacob, Philippe Latombe, Constance Le Grip, Maurice Leroy, Véronique Louwagie, Gérard Menuel, Pierre Morel-A-l'Huissier,  Christophe Naegelen, Olivier Paccaud, Bernard Perrut, Guy Teissier, Laurence Trastour-Isnart, Alexandra Ardisson, Pierre Vatin, Stéphane Viry

autour de Charles Znaty

Co-fondateur et Président de la maison Pierre Hermé

sur le thème :

"La fabuleuse histoire du macaron. De Paris à Tokyo, à l’espace : la maison Pierre Hermé Paris"