Pierre Cuypers

Revue GEEA : La sécurité et l'économie

Revue GEEA : Entre ambition et sobriété : faut-il choisir?

Petit déjeuner autour de Mathieu Lenglin, Directeur France de TESLA

Thème : “QUELLE MOBILITÉ POUR DEMAIN ?”

Parmi les nouvelles technologies qui émergent, plus propres, autonomes, connectées, partagées, parmi les innovations de plus en plus ingénieuses et innovantes, Tesla est devenu un acteur incontournable de la société à l’international.

En présence de Victor Habert-Dassault, Mohamed Aqhila, Pascale Boyer, Hubert Brigand, Pierre Cuypers, Jean-Michel Fourgous, Michel Herbillon, Christian Klinger, Jérôme Nury, Christophe Plassard, Nathalie Serre, Pierre Vatin

Revue GEEA : Industrialisation - Relocalisation : Impossible n'est pas français

NOTRE REVUE GEEA : ENTRE POSSIBLE ET IMPOSSIBLE, DEUX LETTRES ET UN ETAT D'ESPRIT

Petit-déjeuner autour de Jean-Paul AGON, PDG du groupe L'Oréal

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Sophie Auconie, Belkhir Belhaddad, Grégory Besson-Moreau, Jean-Marie Bockel, Pascal Bois, Yves Bouloux, Valérie Boyer, Guy Bricout, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Pierre Cuypers, Loïc Dombreval, Virginie Duby-Muller, Daniel Fasquelle, Nicolas Forissier, Laurent Garcia, Meyer Habib, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Frédéric Reiss, Vincent Segouin, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Michel Vialay

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Emmanuelle Anthoine, Sophie Auconie, Belkhir Belhaddad, Grégory Besson-Moreau, Jean-Marie Bockel, Pascal Bois, Yves Bouloux, Valérie Boyer, Guy Bricout, Guillaume Chevrollier, Pierre Cordier, Pierre Cuypers, Loïc Dombreval, Virginie Duby-Muller, Daniel Fasquelle, Nicolas Forissier, Laurent Garcia, Meyer Habib, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Frédérique Meunier, Frédéric Reiss, Vincent Segouin, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Michel Vialay

Il y a quelques années, notre invité dînait dans un restaurant chinois du 13ème arron- dissement de Paris. L’histoire ne dit pas avec qui, ni où, ni quoi. Quoi qu’il en soit, son « fortune cookie » disait : « vous avez beaucoup de chance, mais vous en aurez besoin ». Une prédiction tout à fait exacte ! Avant de devenir le 5ème PDG en 100 ans d’existence de L’Oréal, l’indétrônable pre- mier groupe de cosmétique au monde, aux 36 marques, couvrant tous les pays, toutes les gammes de prix, répondant à tous les besoins beauté, Jean-Paul Agon y fait ses classes dès sa sortie d’HEC. La consécration ? Ce sera en 1997, quand il prendra en charge le développement de toutes les activités de la zone Asie. Son arrivée coïncidera avec la crise financière du continent. Le succès a été tel, que le groupe lui confiera ensuite la direction de L’Oréal Etats-Unis... une semaine avant le 11 septembre. Rappelez-vous du « fortune cookie » ! Quel est le secret de cette aurore L’Oréal, devenue la marque française la plus puissante dans le monde ? Mélangez la stabilité, l’énergie, l’audace, l’intuition L’Oréal, c’est un empire qui a réussi à s’adapter. Il est aussi un des premiers à avoir anticipé « la révolution digitale » en offrant une nouvelle « expérience produit » aux clients. « Aujourd’hui, c’est déterminant. Le digital est l’avantage compétitif majeur en matière de relations avec les consommateurs, de marques, de mar- keting, de communication ou encore de e-commerce. Il représentait 0% de notre chiffre d’affaires il y a encore 5 ans. Aujourd’hui, nous en sommes à 13,5% et surtout il connaît une croissance de 50% par an, soit pratiquement la totalité de la croissance globale pour le groupe. » soulève Jean-Paul Agon.

Notre pays ne représente que 7 % de son chiffre d’affaires et pourtant 25% de la production industrielle mondiale et les deux tiers des investissements en matière de recherche se passent sur notre sol. Le cœur stratégique de L’Oréal est incontestablement en France. Ce fleuron international paie 25% de ses impôts mondiaux en France.

Il conclura par ces mots « Il faut anticiper ce qu’il va se passer et prendre les bons paris, les bons virages et être toujours extrêmement agile de façon à pouvoir bouger en fonction des évolutions. C’est une très belle aventure grâce à des équipes absolument formidables. Nous sommes une entreprise avec une culture très forte, que nous avons tou- jours gardée, lorsque nous relisons les maximes aujourd’hui d’Eugène Schueller ou de François Dalle, les mêmes valeurs persistent, applicables dans un monde différent, avec des technologies différentes. Nous sommes humanistes, avec la volonté de l’excellence et celle de gagner. Nous avons aussi la chance d’avoir beaucoup de gens qui veulent nous rejoindre, nous recevons environ 1 million 500 milles candidatures chaque année dans le monde. C’est une aventure qui n’a que 110 ans et nous sommes bien tous décidés chez L’Oréal à la faire continuer très longtemps. » Quelle belle note d’espoir pour le savoir-faire français et son rayonnement !


Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi

Petit-déjeuner autour de Catherine Colonna, ambassadrice, représentante permanente de la France auprès de l'OCDE

En présence d’Olivier Dassault, Pascal Bois, Yves Bouloux, Bernard Brochand, Guillaume Chevrollier, Josiane Corneloup, Pierre Cuypers, Olivier Damaisin, Typhanie Degois, Philippe Dominati, Virginie Duby-Muller, Jean-Jacques Ferrara, Claude de Ganay, Laurent Garcia, Michel Herbillon, Alain Houpert, Brigitte Kuster, Constance Le Grip, Sylvain Maillard, Eric Pauget, Frédéric Reiss et Pierre Vatin.

sur le thème :

« TAXATION DES GAFA : RÉVOLUTION MONDIALE OU EXCEPTION FRANÇAISE ? »

Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !

La transition agricole au service de la transition énergétique par Pierre Cuypers

Pierre Cuypers, Sénateur de Seine-et-Marne, membre de la Commission des Affaires économiques du Sénat et spécialiste des Energies Nouvelles Renouvelables (ENR) au sein du groupe parlemen-taire « Les Républicains », nous fait partager sa vision sur la place du monde agricole dans la transition énergétique et du dialogue qui lie ces deux mondes, l’avenir des biocarburants, le financement de la recherche sur les ENR, et la place de l’énergie au sein du débat public.

Quelle est votre vision du mix énergétique de demain ?


Le mix énergétique nous permet d’évoluer vers une dynamique plus vertueuse de développement. Ce bouquet énergétique est un ensemble rassemblant des énergies telles que le nucléaire, le solaire, l’hydrogène, la biomasse et le vent.

Je crois à toutes les énergies à partir du moment où elles sont judicieusement placées et économiquement rentables, et je souscris aux propos exprimés par le Président de la République sur la nécessité de penser la politique énergétique française dans une logique de stratégie adaptive et non de pari pascalien. Il faut en effet répartir les risques, être mobile entre toutes les énergies et n’en renier aucune.

La transition énergétique est-elle le moyen d’appuyer la transition agricole ?


Le monde agricole, dont la vocation est d’alimenter l’humanité et le monde animal, s’est toujours adapté. Nous le constatons de manière évidente : nous produisons aujourd’hui mieux et plus grâce à la mécanisation et à la génétique. Un exemple parmi d’autres est la betterave. La génétique a permis de travailler sur la forme de la betterave, permettant de passer de 5 000 litres d’eau pour laver une tonne de betterave dans les années 1930 à 15 litres aujourd’hui. Nous avons en France la chance d’avoir des filières agricoles intelligentes et volontaires qui investissent des moyens conséquents dans le développement de nouvelles techniques et de nouvelles énergies, telles que les carburants alternatifs que sont les biocarburants. Notons que les carburants alternatifs représentent les seules énergies liquides pouvant se substituer au pétrole conventionnel. Ils permettent aussi de réduire de près de 70% les émissions de gaz à effet de serre lorsqu’ils sont associés au gazole ou à l’essence. Et, ce sont des énergies disponibles qui ne nécessitent pas nécessairement de consommer de l’espace agricole supplémentaire puisqu’elles peuvent être produites à partir de cultures intermédiaires. Aujourd’hui on incorpore 7% de biocarburants dans l’ensemble des carburants et ce nombre devrait bientôt monter à 10%. Ils représentent donc d’une part un débouché pour le monde agricole puisque c’est un produit à forte valeur ajoutée pour les agriculteurs.

Où en sommes-nous en termes de compétences techniques et de développement de ces carburants ?

La 1ère génération de biocarburants n’est pas encore aboutie et nous parlons déjà de 2ème voire de 3ème génération. La 2ème génération sera liée à l’utilisation de la plante entière. Bien que nous sachions faire des carburants de 2ème génération sur le plan technique, ces solutions ne sont pour le moment pas viables économiquement. Le travail continue donc sur ce point, en parallèle du travail sur la 1ère génération. Certaines filières françaises se développent particulièrement, comme la filière de l’étha- nol. A titre d’information, il y a actuellement environ 1500 stations-services françaises proposant des pompes à éthanol et les boîtiers de conversion permettant de rendre un véhicule FlexFuel bénéficient depuis 2017 d’un cadre réglementaire précis et sûr. Les biocarburants représentent selon moi une étape dans notre utilisation des plantes et il n’est pas exclu que demain, nous parvenions à donner à ces productions une valeur ajoutée autre que d’être brûlées dans les moteurs, par exemple pour la production de plastiques biosourcés, de cosmétiques, de solvants et de lubrifiants, auquel cas cela serait aussi une utilisa- tion intéressante des techniques dévelop- pées jusqu’ici. Ces progrès sont rendus possibles grâce à la volonté des acteurs mais nécessitent également un accompa- gnement politique. Or nous sommes dans un système de plus en plus compliqué et sur-normalisé car l’Etat fait notamment le choix d’être plus vertueux par rapport aux normes européennes, ce qui entraîne une perte de compétitivité conséquente.

Quelles vont être les évolutions législatives et réglementaires nécessaires pour y arriver ?


L’un des leviers d’action les plus importants est lié à la fiscalité. A titre d’exemple, nous avons tous contribué à travers nos impôts au développement du nucléaire. Pour les biocarburants, nous avons eu des avoirs fiscaux qui ont permis, lors de leur phase de développement, de les rendre aussi accessibles que les énergies fossiles. Toutes les énergies en développement et nouvelles ont un coût et il faut l’assumer.

Il faut aussi soutenir ces énergies en pro- posant des prix de rachat satisfaisants. Cela permettra notamment de soutenir des projets aux coûts conséquents. C’est par exemple le cas de la méthanisation, puisqu’on estime le coût d’un projet à environ 3 ou 4 millions d’euros.

D’autre part, il est important de placer les énergies au cœur du débat public. La méconnaissance du sujet a par exemple impacté, selon moi, la discussion sur la réduction de TVA appliquée aux véhicules de société hybrides puisque l’amendement proposant d’inclure les biocarburants, qui sont autant vertueux que le gaz et l’électricité, n’a pas été retenu. Ce même manque de compréhension impacte aussi les énergies nouvelles puisqu’on s’aperçoit que les démarches administratives freinent leur développement, comme par exemple les énergies renouvelables en mer. Nous sortons de la préhistoire en matière d’imagination relative à l’énergie pour arriver dans une époque où nous allons potentiellement trouver de l’énergie partout. Il s’agit ensuite de se concentrer sur les énergies positives et les appliquer au plus grand nombre de cas, notamment au monde urbain, en particulier aux bâtiments à éner- gie positive, ce qui permettrait, par exemple d’envisager des éoliennes verticales sur les toits qui produiraient l’énergie nécessaire à la Tour sur laquelle elles se trouvent.

Le Figaro : «Loi Pacte : il faut aller plus loin pour libérer notre croissance !»

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Les membres de «Génération entreprise-Entrepreneurs associés» soutiennent les mesures de la loi Pacte mais demandent davantage d'audace. - Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP

Alors que le gouvernement d'Édouard Philippe avait tablé sur une croissance de 2 % en 2018, celle-ci connaît en réalité un vrai coup d'arrêt. En stagnant à 0,2 % du PIB au deuxième trimestre, elle devrait ainsi davantage avoisiner les 1,7 % cette année, avec des conséquences en cascade sur notre niveau de chômage ou la situation de nos finances publiques.

Avec un taux de chômage de 9,2 %, la France reste ainsi en queue de peloton de la zone euro, mais elle apparaît surtout comme le membre de l'Union européenne dont le chômage décroît le plus lentement depuis le début de la reprise. Quant à notre dette, cette dernière continue inexorablement de grimper pour s'élever aujourd'hui à 97,6 % du PIB, un niveau sans précédent dans notre histoire.

Mais alors, après la magnifique victoire de la France au Mondial de football, que faire pour que notre pays devienne, aussi, le champion du monde de l'économie et de l'emploi?

Le plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, dit loi Pacte, offre une opportunité historique pour déverrouiller les principaux freins à la croissance de nos entreprises, libérer leur capacité d'emploi et débrider, enfin, leur formidable potentiel d'innovation.

» LIRE AUSSI - Ce qui va changer pour les salariés et les entreprises avec la loi Pacte

L'installation d'un guichet unique pour la création d'entreprise, la rationalisation des procédures de redressement judiciaire ou encore la libération de l'intéressement et de la participation, conformément à l'objectif du général de Gaulle de mettre fin aux affrontements stériles entre capital et travail, vont notamment dans la bonne direction. Certaines de ces propositions étaient d'ailleurs présentes dans le livre blanc de «Génération entreprise- Entrepreneurs associés», remis au ministre de l'Économie et des Finances, par les 140 parlementaires membres de cette association d'intérêt général, en janvier de cette année.

Profiter d'une conjoncture économique favorable

C'est pourquoi, si nous soutenons les mesures qui visent à lever les obstacles du développement de nos entreprises, de leur création à leur transmission, en passant par leur financement, nous appelons également de nos vœux que certaines d'entre elles soient beaucoup plus ambitieuses. Comme le préconise le FMI, c'est en effet maintenant qu'il faut «réparer la toiture tant que le soleil brille» en profitant de cette conjoncture économique favorable pour mener des réformes courageuses.

C'est notamment le cas de la simplification des seuils sociaux, ces véritables freins à l'embauche qui conduisent notre pays à cette situation unique au monde: deux fois plus d'entreprises de 49 que de 50 salariés!

Certes, la mise en place d'un délai de cinq ans pour répondre aux obligations et l'harmonisation du mode de calcul des effectifs faciliteront la vie des entrepreneurs. Mais pourquoi ne pas aller plus loin en repoussant toutes les obligations du seuil de 50 salariés, même celles du Code du travail, à au moins 100 salariés? L'enjeu est de taille car si notre pays détient l'un des records du monde en termes de créations d'entreprises, avec 591 000 créations en 2017, ces dernières ne grandissent que trop lentement, avec seulement 5 800 entreprises de taille intermédiaire, contre plus de 12 500 en Allemagne!

Concernant le financement de nos entreprises, il faudrait également plus d'ambition tant le léger renforcement prévu du PEA-PME et des fonds Euro-croissance, deux instruments financiers mis en place sous le précédent quinquennat et qui n'ont jamais rencontré le succès escompté, semble insuffisant face à l'urgence de la situation.

Dès lors, pourquoi ne pas déplafonner le dispositif Madelin, le PEA-PME et le financement participatif? Une telle mesure permettrait de combler la fin de l'ISF-PME et de faire émerger de solides «business angels» pour transformer notre épargne stérile en une épargne fertile, au service de l'emploi des Français. Il s'agit en effet de s'attaquer au sujet crucial du renforcement de l'investissement direct des Français vers nos TPE, nos start-up et nos PME en augmentant considérablement l'incitation fiscale en proportion des risques pris, à l'image de l'exemple britannique avec une incitation forte à investir, jusqu'à 1 million de livres, déductible à 30 % de l'impôt sur le revenu.

Alors oui, ne manquons pas d'audace pour réconcilier les Français avec l'économie et leur donner envie de s'impliquer dans la vie de nos entreprises. C'est une exigence si nous voulons libérer les talents, les énergies, les volontés, pour devenir la «Silicon Valley» de l'Europe à horizon de dix ans et redonner à notre pays l'optimisme qu'il n'aurait jamais dû perdre.

Olivier Dassault, député de l'Oise et président de Génération entreprise- Entrepreneurs associés (GEEA), est par ailleurs administrateur de Dassault Médias, société propriétaire du Figaro. Jean-Michel Fourgous, président de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, est délégué général de GEEA. La liste complète des 74 parlementaires cosignataires - parmi lesquels Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et vice-présidente de l'Assemblée, Michel Herbillon, député du Val-de-Marne et vice-président de l'Assemblée, Annie Genevard, députée du Doubs et vice-présidente de l'Assemblée - peut être consultée sur FigaroVox.

La liste des signataires:

Olivier Dassault, député de l'Oise; Jean-Michel Fourgous, Président Saint-Quentin-en-Yvelines; Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et Vice-Présidente; Michel Herbillon, député du Val de Marne et Vice Président; Annie Genevard, député du Doubs et Vice-Présidente de l'AN; Marc Le Fur, député des Côtes-d'Armor; Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes; Daniel Fasquelle, député du Pas-de-Calais; Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir; Damien Abad, député de l'Ain; Sophie Auconie, députée d'Indre-et-Loire; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle; Olivier Becht, député du Haut-Rhin; Martine Berthet, sénatrice de la Savoie; Jerome Bignon, sénateur de la Somme; Jean-Yves Bony, député du Cantal; Ian Boucard, député du territoire de Belfort; Céline Boulay-Esperonnier, sénatrice de Paris; Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes; Fabrice Brun, député de l'Ardèche; Olivier Cadic, Sénateur des français de l'étranger; Jacques Cattin, député du Haut-Rhin; Gérard Cherpion, député des Vosges; Guillaume Chevrollier, Sénateur de la Mayenne; Paul Christophe, député du Nord; Dino Cinieri, député de la Loire; Pierre Cuypers, sénateur de la Seine-et-Marne; Typhanie Degois, députée de Savoie; Remi Delatte, député de Côte-d'Or; Stéphane Demilly, député la Somme; Julien Dive, député de l'Aisne; Philippe Dominati, sénateur de Paris; Marianne Dubois, députée Du Loiret; Pierre-Henri Dumont, député duPas-de-Calais; Jean-Jacques Ferrara, député de Corse du Sud; Nicolas Forissier, Ancien ministre, député de l'Indre; Claude de Ganay, député du Loiret; Laurent Garcia, député de Meurthe-et-Moselle; Meyer Habib, député des Français de l'étranger; Philippe Gosselin, député de la Manche; Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin; Alain Houpert, sénateur de la Côte-d'Or; Brigitte Kuster, députée de Paris; Elisabeth Lamure, Sénatrice du Rhône; David Lorion, député de la Réunion; Sébastien Leclerc, député du Calvados; Ronan Le Gleut, Sénateur des français de l'étranger; Constance Le Grip, députée des hauts-de-seine; Vivette Lopez, sénatrice du Gard; Véronique Louwagie, député de l'Orne; Gilles Lurton, député d'Ille-et-Vilaine; Emmanuel Maquet, député de la Somme; Sébastien Meurant, sénateur du Val-d'Oise; Maxime Minot, député de l'Oise; Patricia Morhet-Richaud, sénatrice des Hautes-Alpes; Christophe Naegelen, député des Vosges; Olivier Paccaud, sénateur de l'Oise; Bernard Perrut, député du Rhône; Berengère Poletti, député des Ardennes; Benoit Potterie, député du Pas-de-Calais; Sophie Primas, Sénatrice des Yvelines; Didier Quentin, député de charente maritime; Damien Regnard, Sénateur des français de l'étranger; Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin; Maina Sage, député de la Polynésie française; Raphaël Schellenberger, député du Haut Rhin; Eric Straumann, député du Haut-Rhin; Jean-Charles Taugourdeau, député du Maine-et-Loire; Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône; Laurence Trastour-Isnart, députée du Alpes-Maritimes; Isabelle Valentin, député de Haute-Loire; Pierre Vatin, député de l'Oise; Arnaud Viala, député de l'Aveyron; Michel Vialay, député des Yvelines; Stéphane Viry, député des Vosges.

Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie