Stéphane Viry

Petit déjeuner du 11 octobre autour de Jean Castex, ancien Premier ministre, Président de la RATP

Thème : Métro-Boulot-Dodo-JO: La RATP est-elle prête à relever les prochains défis ?

Réponse ce matin au petit déjeuner GEEA à l’Assemblée nationale autour de Jean Castex, ancien Premier ministre et Président de la RATP.

Une trentaine de parlementaires étaient présents afin d’échanger sur les défis, profondément nouveaux, de la RATP notamment en matière de ressources humaines et moyens mis en place pour faciliter le déplacement des usagers des transports en commun.

Revue GEEA : La sécurité et l'économie

Petit déjeuner autour de Laurent Solly, Directeur général de Meta France, VP de Meta Europe du Sud

La machine dépassera-t-elle bientôt son créateur ? Cette question semblait encore il y a quelques mois n’être que théorique, de la pure science-fiction. Et puis ChatGPT a fait son entrée et le monde de l’intelligence artificielle s’est ému de son arrivée. L’émotion, encore un sentiment auquel l’humanité a su garder une certaine exclusivité...

Thème : « SOMMES-NOUS PRÊTS À ACCUEILLIR LES PROCHAINES INNOVATIONS DIGITALES ? »

Revue GEEA : Entre ambition et sobriété : faut-il choisir?

Petit déjeuner autour de Patrick Pouyanné Président-Directeur général de TotalEnergies

Dès janvier, Génération Entreprise-Entrepreneurs Associés a souhaité marquer 2023
par la continuité de ses rencontres à travers l’actualité. Ça avait d’ailleurs commencé fort, en accueillant Patrick Pouyanné, Président Directeur Général de TotalEnergies.

Thème : « POUVONS-NOUS RÉELLEMENT NOUS PASSER DU PÉTROLE ? »

Revue GEEA : Industrialisation - Relocalisation : Impossible n'est pas français

NOTRE REVUE GEEA : ENTRE POSSIBLE ET IMPOSSIBLE, DEUX LETTRES ET UN ETAT D'ESPRIT

Petit-déjeuner autour de Michel Kempinski, président de Sulo Group

En présence d’Olivier Dassault, Gérard Cherpion, Belkir Belhaddad, Daniel Fasquelle, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Stéphane Viry

En présence d’Olivier Dassault, Gérard Cherpion, Belkir Belhaddad, Daniel Fasquelle, Michel Herbillon, Stéphanie Kerbarh, Emmanuel Maquet, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Stéphane Viry

Au moment où se concluaient les travaux sur le projet de loi Gaspillage alimentaire, GEEA a reçu l’ambassadeur de l’économie circulaire, président de la société Sulo, leader européen des containers. Les générations se suivent mais ne se res- semblent pas. On est loin de la chanson de Leo Ferré des années 50 :

« Si l’on mettait le temps du plastique

En musique sique sique

On y perdrait son temps de temps en temps En y gagnant des sous et des bijoux des bijoux en plastique

Bien plus économiques miques miques

Et bien plus intéressant que les diamants Que l’on pend que l’on pend au cou des gens Car le temps du plastique

C’est bien plus fantastique tique tique

On y voit le printemps passer

Son temps à faire des affaires des fleurs en papiers ».

Un bon geste, un bon réflexe... L’antigaspi est devenu une religion nationale voire internationale impulsée par « Make your planet great again ! ». Elle fait heureusement de plus en plus d’adeptes grâce à une campagne d’information intensive depuis l’école jusque chez l’habi- tant et même à l’intérieur des entreprises.

Pour Michel Kempinski, les clés de la réus- site de Sulo, ce sont l’innovation, les inves- tissements et les Hommes. « Lorsque nous sommes partis, il y a plus de dix ans, sur le côté « bac recyclé », avec comme objectif de travailler ensuite sur du 100% recyclé, nous n’avions que 5% à l’origine de matières recy- clées car nous n’arrivions pas techniquement parlant à en faire plus. C’est donc progres- sivement, grâce à des tests et ingénieurs, que cela a pu évoluer. Derrière l’industrie se trouve une montée en compétence et un développement qui va vers l’avant avec des besoins de plus en plus qualifiés. »

Pour gagner la bataille contre la pollution domestique, les Français doivent impéra- tivement y participer. Il ajoute alors que « le tri reste très imparfait. Le sujet majeur est donc le tri à la source, par l’habitant. Comment persuader ce dernier de le faire ? » Incitation ou répression ? La question est posée. La réponse viendra du législateur.

Pour conclure sur une note positive, Michel Kempinski, évoque alors les innombrables possibilités industrielles dans le domaine du tri : « Techniquement, il y a encore énor- mément de choses à faire avec le plastique et l’innovation là-dessus n’a pas de limites. Ce que je trouve toujours fantastique, même après quinze années passées dans ce secteur, est que nous nous demandons toujours comment nous allons faire mieux et à chaque fois nous y arrivons. L’industrie n’a pas de limites. Tout ce que nous nous fixons comme objectif à un moment donné peut paraître irréalisable, puis plusieurs années plus tard, on le rend accessible. Il y aura donc encore, et cela j’en suis absolument persuadé, plusieurs entreprises qui vont naître dans les pro- chains mois et années, et qui apporteront des solutions. »

Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi

Petit-déjeuner autour de Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Beauvais, Bernard Brochand, Valérie Boyer, Pierre Cordier, Rémi Delatte, Vincent Descoeur, Marianne Dubois, Laurent Garcia, Yannick Haury, Michel Herbillon, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, François-Michel Lambert, Laure de La Raudière, Charles de La Verpillère, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Sylvain Maillard, Pierre Morel-à-L’Huissier, Jean-François Rapin, Frédéric Reiss, Vincent Rolland, Eric Straumann, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin et Stéphane Viry.

sur le thème :

« RÉCONCILIER ENTREPRISE ET SOCIÉTÉ : CELA PEUT-IL ROULER ? »

Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !

Visite de Marseille

Ha Marseille ! Quel bonheur de seretrouver en bord de méditer-ranée, au rythme agréable, aux accents chatoyants...

Marseille, la ville des passions, la terre d’histoire, du football et d’immodérées créativités.

Guy Teissier et Eric Diard, les deux Députés de l’étape y ont accueilli une délégation de parlementaires.

Après la visite de l'usine Airbus Helicopters à Marignane, les Députés ont rejoint plu- sieurs jeunes entrepreneurs face au Mucem pour échanger sur le leadership, la création, l’innovation... des questions stimulantes de la part d’une jeunesse qui crée déjà demain.

Cette journée s’est terminée chez Comex (Compagnie Maritime d’Expertises) SA, un ovni dans le secteur industriel qui intervient dans les environnements extrêmes depuis les profondeurs marines, jusque dans l’espace. Avant de prendre le chemin de la lune en 2023, la station orbitale Gateway fera un passage par le grand bassin de la Comex pour y subir plusieurs tests sous l’eau dans les condi- tions de l’apesanteur.

Son activité d’ingénierie hyperbare et hypobare lui a permis de devenir aussi un centre de recherche biomédicale. L’Agence Régionale de Santé lui a attribué l’agrément l’autorisant à pratiquer au sein de ses locaux des recherches cliniques impliquant la personne humaine. Comex, ce sont des talents stimulés par un même engagement : réussir des exploits finement taillés par des ingénieurs d’exception et une infinie imagination.

Le Figaro : «Loi Pacte : il faut aller plus loin pour libérer notre croissance !»

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Les membres de «Génération entreprise-Entrepreneurs associés» soutiennent les mesures de la loi Pacte mais demandent davantage d'audace. - Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP

Alors que le gouvernement d'Édouard Philippe avait tablé sur une croissance de 2 % en 2018, celle-ci connaît en réalité un vrai coup d'arrêt. En stagnant à 0,2 % du PIB au deuxième trimestre, elle devrait ainsi davantage avoisiner les 1,7 % cette année, avec des conséquences en cascade sur notre niveau de chômage ou la situation de nos finances publiques.

Avec un taux de chômage de 9,2 %, la France reste ainsi en queue de peloton de la zone euro, mais elle apparaît surtout comme le membre de l'Union européenne dont le chômage décroît le plus lentement depuis le début de la reprise. Quant à notre dette, cette dernière continue inexorablement de grimper pour s'élever aujourd'hui à 97,6 % du PIB, un niveau sans précédent dans notre histoire.

Mais alors, après la magnifique victoire de la France au Mondial de football, que faire pour que notre pays devienne, aussi, le champion du monde de l'économie et de l'emploi?

Le plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, dit loi Pacte, offre une opportunité historique pour déverrouiller les principaux freins à la croissance de nos entreprises, libérer leur capacité d'emploi et débrider, enfin, leur formidable potentiel d'innovation.

» LIRE AUSSI - Ce qui va changer pour les salariés et les entreprises avec la loi Pacte

L'installation d'un guichet unique pour la création d'entreprise, la rationalisation des procédures de redressement judiciaire ou encore la libération de l'intéressement et de la participation, conformément à l'objectif du général de Gaulle de mettre fin aux affrontements stériles entre capital et travail, vont notamment dans la bonne direction. Certaines de ces propositions étaient d'ailleurs présentes dans le livre blanc de «Génération entreprise- Entrepreneurs associés», remis au ministre de l'Économie et des Finances, par les 140 parlementaires membres de cette association d'intérêt général, en janvier de cette année.

Profiter d'une conjoncture économique favorable

C'est pourquoi, si nous soutenons les mesures qui visent à lever les obstacles du développement de nos entreprises, de leur création à leur transmission, en passant par leur financement, nous appelons également de nos vœux que certaines d'entre elles soient beaucoup plus ambitieuses. Comme le préconise le FMI, c'est en effet maintenant qu'il faut «réparer la toiture tant que le soleil brille» en profitant de cette conjoncture économique favorable pour mener des réformes courageuses.

C'est notamment le cas de la simplification des seuils sociaux, ces véritables freins à l'embauche qui conduisent notre pays à cette situation unique au monde: deux fois plus d'entreprises de 49 que de 50 salariés!

Certes, la mise en place d'un délai de cinq ans pour répondre aux obligations et l'harmonisation du mode de calcul des effectifs faciliteront la vie des entrepreneurs. Mais pourquoi ne pas aller plus loin en repoussant toutes les obligations du seuil de 50 salariés, même celles du Code du travail, à au moins 100 salariés? L'enjeu est de taille car si notre pays détient l'un des records du monde en termes de créations d'entreprises, avec 591 000 créations en 2017, ces dernières ne grandissent que trop lentement, avec seulement 5 800 entreprises de taille intermédiaire, contre plus de 12 500 en Allemagne!

Concernant le financement de nos entreprises, il faudrait également plus d'ambition tant le léger renforcement prévu du PEA-PME et des fonds Euro-croissance, deux instruments financiers mis en place sous le précédent quinquennat et qui n'ont jamais rencontré le succès escompté, semble insuffisant face à l'urgence de la situation.

Dès lors, pourquoi ne pas déplafonner le dispositif Madelin, le PEA-PME et le financement participatif? Une telle mesure permettrait de combler la fin de l'ISF-PME et de faire émerger de solides «business angels» pour transformer notre épargne stérile en une épargne fertile, au service de l'emploi des Français. Il s'agit en effet de s'attaquer au sujet crucial du renforcement de l'investissement direct des Français vers nos TPE, nos start-up et nos PME en augmentant considérablement l'incitation fiscale en proportion des risques pris, à l'image de l'exemple britannique avec une incitation forte à investir, jusqu'à 1 million de livres, déductible à 30 % de l'impôt sur le revenu.

Alors oui, ne manquons pas d'audace pour réconcilier les Français avec l'économie et leur donner envie de s'impliquer dans la vie de nos entreprises. C'est une exigence si nous voulons libérer les talents, les énergies, les volontés, pour devenir la «Silicon Valley» de l'Europe à horizon de dix ans et redonner à notre pays l'optimisme qu'il n'aurait jamais dû perdre.

Olivier Dassault, député de l'Oise et président de Génération entreprise- Entrepreneurs associés (GEEA), est par ailleurs administrateur de Dassault Médias, société propriétaire du Figaro. Jean-Michel Fourgous, président de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, est délégué général de GEEA. La liste complète des 74 parlementaires cosignataires - parmi lesquels Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et vice-présidente de l'Assemblée, Michel Herbillon, député du Val-de-Marne et vice-président de l'Assemblée, Annie Genevard, députée du Doubs et vice-présidente de l'Assemblée - peut être consultée sur FigaroVox.

La liste des signataires:

Olivier Dassault, député de l'Oise; Jean-Michel Fourgous, Président Saint-Quentin-en-Yvelines; Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et Vice-Présidente; Michel Herbillon, député du Val de Marne et Vice Président; Annie Genevard, député du Doubs et Vice-Présidente de l'AN; Marc Le Fur, député des Côtes-d'Armor; Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes; Daniel Fasquelle, député du Pas-de-Calais; Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir; Damien Abad, député de l'Ain; Sophie Auconie, députée d'Indre-et-Loire; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle; Olivier Becht, député du Haut-Rhin; Martine Berthet, sénatrice de la Savoie; Jerome Bignon, sénateur de la Somme; Jean-Yves Bony, député du Cantal; Ian Boucard, député du territoire de Belfort; Céline Boulay-Esperonnier, sénatrice de Paris; Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes; Fabrice Brun, député de l'Ardèche; Olivier Cadic, Sénateur des français de l'étranger; Jacques Cattin, député du Haut-Rhin; Gérard Cherpion, député des Vosges; Guillaume Chevrollier, Sénateur de la Mayenne; Paul Christophe, député du Nord; Dino Cinieri, député de la Loire; Pierre Cuypers, sénateur de la Seine-et-Marne; Typhanie Degois, députée de Savoie; Remi Delatte, député de Côte-d'Or; Stéphane Demilly, député la Somme; Julien Dive, député de l'Aisne; Philippe Dominati, sénateur de Paris; Marianne Dubois, députée Du Loiret; Pierre-Henri Dumont, député duPas-de-Calais; Jean-Jacques Ferrara, député de Corse du Sud; Nicolas Forissier, Ancien ministre, député de l'Indre; Claude de Ganay, député du Loiret; Laurent Garcia, député de Meurthe-et-Moselle; Meyer Habib, député des Français de l'étranger; Philippe Gosselin, député de la Manche; Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin; Alain Houpert, sénateur de la Côte-d'Or; Brigitte Kuster, députée de Paris; Elisabeth Lamure, Sénatrice du Rhône; David Lorion, député de la Réunion; Sébastien Leclerc, député du Calvados; Ronan Le Gleut, Sénateur des français de l'étranger; Constance Le Grip, députée des hauts-de-seine; Vivette Lopez, sénatrice du Gard; Véronique Louwagie, député de l'Orne; Gilles Lurton, député d'Ille-et-Vilaine; Emmanuel Maquet, député de la Somme; Sébastien Meurant, sénateur du Val-d'Oise; Maxime Minot, député de l'Oise; Patricia Morhet-Richaud, sénatrice des Hautes-Alpes; Christophe Naegelen, député des Vosges; Olivier Paccaud, sénateur de l'Oise; Bernard Perrut, député du Rhône; Berengère Poletti, député des Ardennes; Benoit Potterie, député du Pas-de-Calais; Sophie Primas, Sénatrice des Yvelines; Didier Quentin, député de charente maritime; Damien Regnard, Sénateur des français de l'étranger; Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin; Maina Sage, député de la Polynésie française; Raphaël Schellenberger, député du Haut Rhin; Eric Straumann, député du Haut-Rhin; Jean-Charles Taugourdeau, député du Maine-et-Loire; Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône; Laurence Trastour-Isnart, députée du Alpes-Maritimes; Isabelle Valentin, député de Haute-Loire; Pierre Vatin, député de l'Oise; Arnaud Viala, député de l'Aveyron; Michel Vialay, député des Yvelines; Stéphane Viry, député des Vosges.

Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie

Petit déjeuner autour de Jean-Cyril Spinetta

En présence d’Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Thibault Bazin, Valérie Beauvais, Grégory Besson-Moreau, Pascal Bois, Jean-Claude Bouchet, Jacques Cattin, Olivier Damaisin, Loïc Dombreval, Jean-Pierre Door, Jean-Jacques Ferrara, Laurent Garcia, Yannick Haury, Alain Houpert, Jean-Luc Lagleize, Marc Le Fur, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Emmanuel Maquet, Maxime Minot, Christophe Naegelen, Bernard Perrut, Frédéric Reiss, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Arnaud Viala, Philippe Vigier, Stéphane Viry

« Et si nous prenions un train d’avance ? »

autour de Jean-Cyril Spinetta, Auteur d’un rapport sur l’avenir du transport ferroviaire

Petit déjeuner autour de Maurice Levy, Président du Conseil de surveillance de Publicis

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, JEAN-CLAUDE BOUCHET, BERNARD BROCHAND, PIERRE CORDIER, TYPHAINE DEGOIS, VIRGINIE DUBY-MULLER, JEAN-JACQUES FERRARA, FABIEN DI FILIPPO, MEYER HABIB, CLAUDE DE GANAY, LAURENT GARCIA, SÉBASTIEN HUYGHE, BRIGITTE KUSTER, CHARLES DE LA VERPILLÈRE, CONSTANCE LE GRIP, JEAN-PAUL MATTEI, ERIC PAUGET, FRÉDÉRIC REISS, RAPHAEL SCHELLENBERGER, PIERRE VATIN, STÉPHANE VIRY

sur le thème :

"Entreprises et Médias font-ils bon ménage?"

Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France

EN PRÉSENCE D'OLIVIER DASSAULT, JEAN-MICHEL FOURGOUS, VALÉRIE BAZIN-MALGRAS, EMILIE BONNIVARD, JEAN-CLAUDE BOUCHET, JACQUES CATTIN, DINO CINIERI, PIERRE CORDIER, RÉMI DELATTE, FABIEN DI FILIPPO, CLAUDE DE GANAY, LAURENT GARCIA, PHILIPPE GOSSELIN, YANNICK HAURY, ALEXANDRE HOLROYD, BRIGITTE KUSTER, SÉBASTIEN LECLERC, EMMANUEL MAQUET, MAXIME MINOT, ERIC PAUGET, SOPHIE PRIMAS, ERIC STRAUMANN, PIERRE VATIN, MICHEL VIALAY, STÉPHANE VIRY

Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France

sur le Thème:

" La culture d’entreprise au service des objectifs "

Rencontre avec Bruno Le Maire sur le PACTE

En présence d'Olivier Dassault, Jean-Michel Fourgous, Valérie Bazin-Malgras, Paul Christophe, Pierre Cordier, Rémi Delatte, Michel Herbillon, Brigitte Kuster, Claude de Ganay, Emmanuel Maquet, Vivette Lopez, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin, Stéphane Viry,

« Génération Entreprise – Entrepreneurs Associés », présidé par Olivier Dassault et qui rassemble 128 parlementaires, des Modem aux Républicains, en passant par les Marcheurs, a reçu Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances pour proposer leurs mesures avant le dépôt définitif du PACTE (plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises).

Le ministre a insisté sur l’importance d’accélérer l’innovation. « La France doit faire mieux car nos concurrents sont féroces. Le Crédit Impôt Recherche ne suffit plus, il faut aussi l’ouvrir aux TPE PME ». Il est revenu aussi sur la nécessité de remonter les seuils sociaux « au cœur du PACTE », mesure qui fait partie des propositions présentées par les membres de GEEA depuis 2015.

Olivier Dassault, député de l’Oise, a abordé l’importance de retrouver les chemins de la croissance, indispensable pour que les entreprises embauchent. « Stabilité, cohérence et souplesse, voici le triptyque des mesures de bon sens, pragmatiques, demandées aussi par les entrepreneurs avec qui nous avons travaillé sur ce projet ». Parmi les 19 points proposés, le député de l’Oise est revenu sur la priorité de récompenser les salariés méritant en laissant les entrepreneurs qui le souhaitent verser une prime pouvant aller jusqu’à 1000 euros par an sans charge et défiscalisée.

Pierre Cordier, député des Ardennes, a demandé si les heures supplémentaires défiscalisées seraient de retour parce que « croire en l’entreprise, c’est croire en ses salariés ». Bruno Le Maire est revenu sur la situation budgétaire, « les heures supplémentaires défiscalisées coûtent chers à l’Etat » et complète « D’ici deux ou trois ans, nous verrons si leur retour est possible, en fonction de la situation budgétaire ».

Revue GEEA : Top départ pour la France !